Après un long voyage nous atterrissons à Cuba rajeunis de 6 heures. Dès le premier contact avec le parking un autre monde s’offre à nous. Ici le temps semble s’être arrêté et les belles américaines portent encore beau leurs tonnes d’acier rouillé des années 50. La mécanique et la débrouillardise font bon ménage avec Cuba pour maintenir en état des engins et un pays qui sous les cieux des paradis de la consommtion auraient depuis longtemps disparu. Le soleil se couche lorsque nous arrivons et les sihouettes des palmiers se mêlent à une population qui s’assemble dans l’attente de véhicules improbables pour rejoindre des habitats mystérieux. C’est bien le mystère qui résume ce pays au moment où nous le visitons. Mystère d’une Espagne antique disparue mais tellement présente dans l’architecture, mystère de l’esclavage qui de son sang a tracé ces étendues de canne à sucre et de tabac, mystère d’une révolution qui a porté des idéaux de liberté fracassés dans la perfidie des hommes, mystère des héros qui infusent le quotidien d’un peuple qui ne renonce pas à l’espérance.
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Proposition quotidienne de rédactionCroyez-vous au destin/à la fatalité ?
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Vivement le soleil de Cuba ! Il faut penser à la crème solaire alors qu’ici le temps est plus que maussade
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Cuba, nous voilà !!! -
Et bienvenue aux blogueurs : Chantal, Claudie, Gaëtane, Claude, Jacky et Marie laure
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